David Hume est un philosophe, historien, économiste et essayiste écossais surtout connu pour son empirisme philosophique et son scepticisme. Hume a développé une approche comme la recherche scientifique expérimentale et inductive de la nature humaine. En utilisant la méthode scientifique du physicien de langue anglaise Sir Isaac Newton comme conception et en s’appuyant sur l’épistémologie du philosophe anglais John Locke, Hume a tenté de décrire comment l’esprit fonctionne pour acquérir ce qu’on appelle exactement l’information. Il conclut qu’aucune théorie de la réalité n’est possible ; il pourrait n’y avoir aucune connaissance de quoi que ce soit de l’expérience passée. Indépendamment de l’effet durable de sa théorie de la connaissance, Hume semble s’être considéré avant tout comme un moraliste. Hume considère alors l’ensemble du processus d’inférence causale et, ce faisant, il introduit le concept de croyance. Lorsque les individus voient une fenêtre tomber, ils pensent non seulement à sa rupture, mais anticipent et croient qu’elle va se fissurer. Ou, à partir d’un impact, lorsqu’ils voient le sol devenir typiquement humide, ils pensent non seulement à la pluie mais croient qu’il y a eu de la pluie. Ainsi, l’idée est un élément important dans le processus d’inférence causale. Hume a ensuite cherché à enquêter sur le type d’idée, affirmant qu’il était le premier à le faire. Il utilise cependant le mot dans le sens étroit de croyance concernant des questions de fait. Il décrit la croyance comme une sorte de vivacité ou de vivacité qui accompagne la perception d’une idée. Une idée, en d’autres termes, est un concept vibrant ou vivant. Cette vivacité est d’abord possédée par certains des objets de la conscience – par les impressions et par les images de souvenir de base de celles-ci. Par association, il appartient également à des idées spécifiques. Sur la voie de l’inférence causale, l’observateur passe donc d’une impression à un concept qui lui est fréquemment associé. Chemin faisant, la part de vivacité propre à la perception infecte l’idée, affirme Hume. Quel est cet aspect de la vivacité que Hume définit comme le cœur et l’âme de l’idée. Hume ne déclarera pas qu’ils démontrent que les événements ne sont pas liés de manière causale ou qu’ils peuvent ne pas être liés plus tard dans les mêmes méthodes parce qu’ils l’étaient auparavant. En effet, il croit fermement le contraire et insiste sur le fait que tout le monde est différent aussi. La croyance en la causalité ainsi qu’en la ressemblance de l’avenir avec le passé sont des croyances entièrement naturelles, des propensions inextinguibles de l’être humain mère nature (folie à part), et même nécessaires au succès humain. Tout à fait, ce que Hume prétend prouver, c’est que de telles croyances naturelles ne sont pas obtenues à partir d’observations empiriques ou de causes, qu’elles soient intuitives ou inférentielles, et ne peuvent être démontrées par elles. Même si la représentation implique qu’il n’y a aucune preuve en leur faveur, en outre, cela implique que les humains sont tenus de les avoir et qu’il doit être pratique et sain de le faire. C’est le doute de Hume : c’est bien une affirmation du stress, un déni non pas d’idée mais de certitude. The Inquiry Concerning the Principles of Morals est un raffinement de la pensée de Hume sur la moralité, où il considère la sympathie comme le fait que l’être humain, mère nature, se trouve au programme de toute vie sociale et de tout bonheur privé. Définissant la morale comme ces caractéristiques qui sont approuvées (1) en qui qu’elles soient réellement et (2) par pratiquement tout le monde, il s’attache à découvrir les bases les plus larges des approbations. Il les trouve, comme il a trouvé les fondements de la croyance, dans les « sentiments » et non dans les « savoirs ». Les décisions morales sont fondées sur le sentiment éthique. Les caractéristiques sont appréciées soit pour leur puissance, soit pour leur amabilité, dans chaque situation soit pour leurs propriétaires soit pour les autres. Le système éthique de Hume vise le contentement des autres (sans ce genre de formulation comme « le meilleur bonheur du plus grand nombre ») et le bonheur de soi. Mais le respect des autres compte pour la partie supérieure de la moralité. Son accent est mis sur l’altruisme : les sentiments moraux qu’il déclare voir chez les humains, il les attribue, pour la plupart, à certains sentiments et à une sympathie pour ses semblables. C’est vraiment la nature humaine, garde-t-il, de rire avec le rire et aussi de pleurer avec les affligés et de chercher le bien des autres ainsi que le sien. Quelques années après la publication de l’enquête, Hume a avoué : « J’ai un faible pour le travail » ; et à la fin de sa vie, il l’évalua « de tous mes écrits incomparablement le meilleur ». De telles affirmations, ainsi que d’autres signaux dans ses derniers articles, ont la capacité de croire qu’il considérait sa doctrine éthique comme sa fonction principale. Il publie ici des articles en tant que personne ayant exactement le même dévouement à la responsabilité que les autres. L’opinion standard selon laquelle il avait été un moqueur sans attaches est profondément erronée : il était sceptique non pas quant à la moralité mais à beaucoup de théories à ce sujet.

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