Récemment, au cours d’un séminaire en Chine, un participant a montré combien ces dernières sont hautement rabrouées. En effet, 100% séminaire elles insufflent presque toujours des séismes dans la société. le télégraphe a perdu tout intérêt quand est apparu le téléphone; Les synthétiques sont venus détrôner métal et bois, etc.
Un participant a parfaitement illustré ce caractère double face du progrès. Il a utilisé un objet courant : le smartphone. Un appareil qui réunit à la fois un téléphone, une vidéothèque, un appareil photo numérique et un ordi. Cet appareil prend non seulement moins de place, mais il fournit une meilleure qualité, requiert pas autant d’assemblage et nécessite moins de matériaux et d’énergie.. Son introduction a représenté un désastre pour bon nombre d’entreprises : producteurs de disques vinyles ou de CD, revendeurs, fabricants de polaroid ou de GPS… En matière de rentabilité et l’emploi dans ces domaines respectifs, le smartphone a été un drame sans comparaison. Seulement, en évinçant tous ces appareils, il a amélioré notre confort de vie. C’est là tout « le paradoxe de l’innovation. Les innovations débouchent sur une augmentation du niveau de vie mais confrontent pour commencer les industries en place à des ennuis ; elles les font décliner ou les réduisent à disparaître. L’élévation de la richesse globale apparaît naturellement à long terme ; mais au début pourtant, ce sont surtout les conséquences nuisibles qui s’exposent : des salariés actifs au sein de certaines industries finissent par perdre leur emploi en raison de l’influence de nouvelles technologies. Le laitier perd son travail avec la montée du frigo. Les libraires sont dépassées par l’ebook. Easyjet ébranle les acteurs historiques avec leur nouveau modèle économique. Ceux qui essuient les plâtres de la révolution technique posent naturellement un œil sévère sur ces innovations. Voilà pourquoi le progrès, en dépit de son utilité indubitable, est au départ souvent regardé comme une régression.
Mais il faut pourtant se rappeler le côté positif : l’introduction de l’innovation rend certes certains métiers caduques et amène des salariés au chômage ; mais la nouvelle technologie amène de nouveaux emplois et de nouvelles richesses. Ce séminaire à Londres m’a offert un autre point de vue sur les mouvements sociaux.

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